Tout un programme…
Oser être entier, sans filtre, se montrer au monde et à l’autre...
Quel problème ?
- La peur du regard de l’autre, le jugement.
- la peur que l’autre ne nous aime pas comme nous sommes, la déception…
C’est souvent cela qui nous amène à porter un masque, à nous travestir…
Mais qui a dit que l’autre ne nous aimerait pas comme nous sommes ? On ose ?
Un joli livre à ce sujet est Le chevalier à l’armure rouillée. Pour lui ce n’est même plus un masque mais une armure…
Un vécu de non accueil ou bien l’absence d’espace pour autre chose que ce qui doit être entraîne aussi la confection d’une apparence.
Ainsi nous choisissons un masque qui convient à l’extérieur et taisons une partie de nous… Ce vécu a été. Le comprendre peut permettre de s’en libérer pour ensuite oser…
Par contre il faut penser que quand nous allons poser notre masque, l’autre qui avait l’habitude de cette apparence, va avoir besoin d’un temps de compréhension et d’adaptation...
Ainsi va naître une relation d’être à être et non plus de personnage à personnage !
Poser son masque c’est, aussi par rapport à soi même : se voir et s’accepter tel que nous sommes : un être qui a sa part féminine et masculine, son Yin et son Yang, sa part lunaire et sa part solaire, son ombre et sa lumière.
Il y a des parts de nous que nous avons plus de mal à voir, à accepter et si vous observer bien, c’est celles qui s’expriment en dehors de notre volonté.
Les accepter et apprendre à les connaître permet d’en être maître et non victime, de les utiliser et non plus de les subir. Ce la fait de nous un être complet.
Cet être complet, a donc moins (voir plus) besoin de l’autre pour se sentir exister. Cela change le rapport humain : on peut accepter l’autre tel qu’il est sans être touché par ce qu’on aurait ressenti comme un manque. L’autre devient la cerise sur le gâteau, un plus à nous même. Juste un plus… Et non plus la part qui nous manque.
Poser son masque c’est, aussi par rapport à soi même : se voir et s’accepter tel que nous sommes : un être qui a sa part féminine et masculine, son Yin et son Yang, sa part lunaire et sa part solaire, son ombre et sa lumière.
Il y a des parts de nous que nous avons plus de mal à voir, à accepter et si vous observer bien, c’est celles qui s’expriment en dehors de notre volonté.
Les accepter et apprendre à les connaître permet d’en être maître et non victime, de les utiliser et non plus de les subir. Ce la fait de nous un être complet.
Cet être complet, a donc moins (voir plus) besoin de l’autre pour se sentir exister. Cela change le rapport humain : on peut accepter l’autre tel qu’il est sans être touché par ce qu’on aurait ressenti comme un manque. L’autre devient la cerise sur le gâteau, un plus à nous même. Juste un plus… Et non plus la part qui nous manque.
Fanny Aladenise
Écrire commentaire