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Il Faut, Je Dois...

 

 

 

Il faut... Je dois  !

Des impératifs qui ne sont pas entendables par notre cerveau.... Le cerveau est comme un adolescent....Il est rebelle et ne consent pas aux ordres  !il veut affirmer son libre arbitre et sa souveraineté....Notre réaction aux impératifs est donc la procrastination et/ou la colère et la peur... Colère de ne pas avoir fait (sentiment de nullité) et Peur des conséquences et du qu en dira t on....alors...transformons ces mots par  : il serait bien ou bon pour moi de...!.....
Depuis que je fais attention à ces mots....je suis beaucoup plus dans l action et je trouve beaucoup plus de motivation à faire mes "corvées" sans passer par la case  procrastination  ! C'est magique  !
Je vous propose de vous reprendre en conscience lorsque vous utilisez ces mots toxiques et de transformer votre phrase  ! Voyez le résultat et partagez le  !

Je propose des accompagnements par la méthode Nayata pour évoluer de tout votre être et dans tous vos états.... cette méthode est une douce alchimie unique et personnalisée pour lâcher prise et retrouver son soi. Elle allie énergétique, quantique, matière (travail du corps), créativité, partage.... tout ça dans la bienveillance en partant du principe que le meilleur est devant nous  ! Une reprogrammation sur tous les plans....

Il est temps pour moi de laisser place à mes amies !

Au plaisir de vous lire....

Nathalie dite Nayata

 

 

 

Il Faut, Je Dois…

 

 

 

Ce titre me fait soupirer… de non envie… d’ailleurs je n’ai pas envie d’écrire cet article mais « il faut, je dois... »

 

 

 

Il est synonyme de contraintes, obligations qui sont l’inverse de la liberté. Je ressens de la pression à cette idée….

 

 

 

Certaines pressions sont utiles : bien dosées et à bon escient, elles peuvent nous pousser à nous surpasser.

 

Par exemple, avec Uni’T nous avons choisi de proposer une journée type coocooning toutes les 4 afin d’offrir ce que nous sommes à celles qui le choisiront à chaque saison.

 

J’adore ce projet, et surtout avec ces femmes que j’aime tant.

 

 

 

Mais… et oui, il y a un hic pour moi !!!

 

Je suis habituée à travailler en individuel : un client (ou éventuellement deux si c’est un enfant avec ses parents) et moi même ! Mais là, ça sera plutôt 8 femmes et nous mêmes ; soit du collectif et donc quasiment l’inconnu pour moi…

 

Pourtant j’ai choisi de relever le défi car cela résonne en moi.

 

Et la date approche alors je dois trouver.

 

C’est donc un  « je dois » que j’ai choisi. L’échéance met la pression de la réalisation mais c’est une pression stimulante pour m’obliger à sortir de ma zone de confort.

 

 

 

Je me suis posée hier avec cette intention : partir de ce que j’ai en moi pour créer un temps collectif pour cette journée. J’avoue m’être surprise car quelque chose de plaisant et né ! Maintenant il n’y a plus qu’à tester !!!

 

 

 

 

 

A l’inverse, il y a des « il faut je dois » que nous ne choisissons pas. Comme par exemple le ménage pour moi, ou bien faire les courses ou bien d’autres choses indispensables dans cette vie sans être passionnantes et qui prennent du temps !

 

A ce niveau, j’ai déjà éliminé un maximum de choses non essentielles pour moi afin de ne garder que ce qui est vraiment indispensable. Ça limite la quantité !!!

 

Et ensuite, je m’offre le luxe de choisir quand et comment je vais le faire. Ce qui fait que dans ce « il faut je dois », je n’ai pas le choix de le faire, mais par contre celui du comment !

 

Pour le ménage par exemple, j’attends que le manque de propreté soir suffisamment désagréable pour moi pour que cela me pousse nettoyer. Alors je prends plaisir à le faire en musique ! Ce n’est plus une corvée mais un besoin !! Et comme je suis tout le temps pieds nus, ma peau est vite alertée !

 

 

 

Cela fonctionne assez avec les enfants :

 

« Ok, tu ne veux pas mettre tes chaussures ? Je comprends, tu préfères tes baskets ou tes bottes ? »

 

En vrai dans cette exemple on reste pieds nus chez moi !!!

 

Mais vous voyez ce que je veux dire !!

 

 

 

Fanny Aladenise

 

 

 

IL FAUT que je m'y mette car JE DOIS écrire cet article...Whouaaa, quelle merveilleuse entrée en matière !! Tiens, serais je atteinte de victimite aiguë ?

 

 

 

Dans la vie IL FAUT travailler car nous DEVONS nourrir nos familles... Whouaaa, quelle joie de vivre !! Tiens, serions nous atteint de responsabilite aiguë ?

 

 

 

Dans les deux cas, nous pouvons entendre entre les lignes le fameux "j'ai pas l'choix"... où se situe donc notre véritable part de responsabilité ?

 

Dans le CHOIX justement ! Nous avons tous le pouvoir de choisir et dans les deux cas le choix de soumission à été fait: soumission à un engagement passé. Nous avons aussi le pouvoir de renoncer, nous avons le droit de changer d'avis aussi !

 

 

 

Le choix conscient est libérant. Se libérer des "il faut, je dois" demande de retrouver son pouvoir de choisir et le courage de porter sa responsabilité. Être libre c'est assumer les conséquences désagréables de nos choix. Alors voilà pourquoi nous faisons parfois le choix de nous cacher derrière des "il faut, je dois": sous des airs de sacrifices nous nous dérobons devant nos responsabilités !

 

 

 

Voilà ce à quoi nous autres “adultes " nous jouons : nous prenons des grands airs, des airs de" grands“ avec nos monticules de "il faut, je dois" à longueur de temps et d'année pour masquer notre petitesse... A quoi bon (à rien) devenir grand ? Autant continuer à jouer dans la cour de recrée se disent les petits... et derrière mon écran quand je serai grand !

 

 

 

Je nous souhaite à tous un peu de courage afin de reprendre nos responsabilités, transformer nos "il faut, je dois" en JE FAIS LE CHOIX DE et oser se rappeler le POUR QUOI de nos choix qui redonneront du sens à nos à-faire si nous ne voulons pas entendre dans la bouche des nouvelles générations : “moi quand je serai grand je voudrai rester petit ".

 

 

 

JE CHOISIS de poser le crayon là Chers lecteurs parce que J'AI L'ÉLAN d'être présente en vérité à mon dernier né.

 

 

 

Avec tout mon amour, 

 

 

 

Angélique 

 

 

 

"Il faut" et "je dois" sont des expressions qui reflètent souvent des obligations ou des nécessités dans la vie quotidienne et rien que d’entendre le mot obligation, personnellement ça me tend pas vous ?

 

Lorsque l'on dit "il faut", on souligne une sorte d'injonction, une norme sociale ou une recommandation. C'est comme si la société dictait une conduite à suivre qui est lié à notre éducation, à notre culture, mais aussi à notre cadre interne que l’on se crée au fil du temps parce qu’on a la certitude que c’est juste.

 

D'un autre côté, "je dois" exprime une obligation personnelle, un engagement que l'on se fixe soi-même. Bref, pour l’un comme pour l’autre, il est peut être intéressant de parfois prendre un instant et se demander si ce « il faut » ou le « je dois » est réellement adapté à notre épanouissement.

 

"Il faut" peut parfois être perçu comme contraignant, imposant des règles externes, tandis que "je dois" implique une responsabilité interne, une décision personnelle. Ces expressions font écho à nos interactions avec le monde qui nous entoure, façonnant notre comportement et notre éthique. Que ce soit dans le domaine professionnel, familial ou social, ces obligations structurent nos journées et définissent nos priorités, mais sont-elles toujours adaptées à notre bonheur ?

 

Pourtant, il est crucial de trouver un équilibre entre les obligations imposées par la société et celles que l'on se fixe individuellement. Trop de "il faut" peut parfois éclipser nos aspirations personnelles, alors que trop de "je dois" peut conduire à une pression interne excessive. Trouver la juste mesure entre ces deux forces peut être le chemin vers une vie épanouissante et équilibrée. Encore une fois, ce qui est important dans tout cela c’est de se poser, de respirer et bien évidemment être conscient le plus possible de ce qui se joue en nous, qu’est ce qui mène notre vie ? Nos aspirations ou nos injonctions, les deux ?

 

 

 

Christèle Philis

 

 

 

 

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